• Puzzle Macron 2018

    LE PUZZLE COMMENCE A PRENDRE FORME

     

    Je crois que je commence à comprendre l’étendue des agissements criminels de Macron et de ses comparses : les pièces du puzzle se regroupent.
    L’emprise médiatique en termes de nouvelles, de fakes, d’infos circulant dans tous les sens est telle qu’il est difficile de garder une ligne directive à propos de l’essentiel.

    Mon idée, dans cet embrouillamini de vérités et de leur contraire, est de me poser sans relâche la question : « A qui profite le crime ? ». Et la recherche de la réponse est un bon guide pour ne pas se fourvoyer sur des voies de garage.

    A mon avis le complot de Macron contre la France mérite sa destitution.

     

    Emmanuel Macron suppôt des banques

    Ce n’est un secret pour personne que Macron a été chef de projet chez Rotschild (on parle d’un minimum de 2,5 M€ annuels !) et on ne peut pas concevoir qu’il ait laissé tomber un tel pactole pour « entrer » en politique et venir s’occuper de la France par pure grandeur d’âme.
    Les éminences grises qui tirent les ficelles de notre pays depuis des décennies, au gré des gouvernements qu’ils soient de droite ou de gauche (Attali, Minc, Jouyet, …), l’ont mis en place avec un plan bien structuré :

    1. Dégoutter les gens de la politique : Sarko et Hollande avaient bien préparé le terrain ;

    2. Eliminer les potentiels rivaux dangereux : campagne médiatico-juridique contre Fillon par ex., contre Marine aussi ;

    3. Trouver quelqu’un sans passé politique pouvant être présenté comme le « Messie » ;

    4. Orchestrer ensuite une campagne électorale fracassante (tapez sur Internet : Les Unes de Paris-Match sur Macron, les débordements financiers de la campagne macronienne en examen actuellement, entre autres) ;

    5. Cueillir le fruit mûr sur un plateau.

    6. Le présenter à une France « fan » de Cyril Hanouna, de foot, bref de futilités style « panem et circenses ».

    Le tour est joué. Et bien joué.

     

    L’aberration de l’euro

    Je pense avoir l’esprit ouvert et attentif à ce qui m’entoure, mais j’avoue être tombé dans le panneau de l’euro avec la naïveté d’un nouveau-né.
    Ma proximité avec l’Italie (10 km) y a sans doute été pour beaucoup : c’était si simple de passer la frontière sans se préoccuper du change, de ne pas avoir un porte-monnaie pour les Francs, un autre pour les Lires.

    Mais cette facilité était l’arbre qui cachait la forêt !

    Sans être grand spécialiste, chacun sait que la monnaie est le reflet de l’économie d’un pays. Et le taux de change pour passer de l’une à l’autre, la nécessaire adaptation à des niveaux économiques différents. Quand on allait en congés en Allemagne au siècle dernier, on savait que le Mark valait plus que le Franc et que donc les vacances qu’on allait y passer seraient plus courtes que si l’on avait choisi l’Italie avec sa Lire vacillante.
    Et brusquement, coup de baguette magique : le 31 décembre 2001, toutes ces différences économiques ont disparu comme par enchantement !

    Cela revient à dire que tous les pays concernés (12 à ce moment-là) avaient adapté leurs économies pour pouvoir commercer sur un plan d’égalité. Qui a pu croire pareille gabegie ? (moi par exemple : j’ai déjà évoqué ma crédulité maladive. Mais pas que moi, bien sûr).

    Et cette disparité n’a fait que croître et embellir au fur et à mesure de l’ajout de canards de plus en plus boiteux à cette Europe : suivez mon regard vers l’est.
    Aujourd’hui, la constatation suivante, que peu de gens relèvent pourtant, me fait frémir :

    Chez nous, avec 1 € on ne peut pas s’acheter une baguette de pain mangeable. Dans certaines zones de Russie, le Smic est de 180 € par mois (vous avez bien lu : cent quatre vingts Euros).

    Les conséquences de cette aberration sont évidentes : les entreprises se délocalisent vers l’est de l’Europe pour profiter de ces faibles coûts d’installation et d’exploitation. Dans le même temps les ouvriers affluent à l’ouest de l’Europe pour profiter de salaires et d’avantages sociaux supérieurs aux leurs.
    C’est ce que j’appelle le démantèlement de la France au profit de cette hydre européenne.
    Une double peine en somme.

     

    Edouard Philippe suppôt d’Areva

    Ce que peu de personne savent c’est que l’écolo Philippe, prêt à « ne pas changer de cap » pour la transition écologico-énergétique est un pur produit de la filière nucléaire.
    Je cite une passage de Wikipedia : « … Édouard Philippe rejoint en 2007 le groupe Areva en tant que directeur des affaires publiques (2007-2010). Selon l'Observatoire du nucléaire, « son activité principale est alors de s’assurer de la collaboration de parlementaires acquis au lobby de l’atome ». C'est de cette période que date sa réputation d'anti-écologiste, confirmée par son opposition à la Loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte puis à la Loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, ainsi qu'à son soutien au projet d'aéroport Notre-Dame-des-Landes ou à l'utilisation d'une centrale à charbon au Havre …».
    Pas besoin de s’attarder davantage sur ce triste personnage.

    Les véhicules électriques

    Pendant un temps, l’idée de l’adoption de ce genre de véhicules pour diminuer la pollution a fait son chemin. Et là encore, en tant qu’ancien professeur d’électrotechnique, je reconnais avoir été séduit par cette tendance.

    Contre : le coût élevé de la voiture, sa difficulté de recharge (tout le monde ne dispose pas d’un garage privé pour effectuer la recharge la nuit – le nombre de bornes publiques est très réduit), la faible autonomie destinant la voiture à un usage urbain (une 2de voiture en fait).

    Pour : le silence et la souplesse de fonctionnement, l’absence d’émission de gaz d’échappement, la facilité d’entretien.

    Tout ça au premier abord. Car ensuite, en creusant un peu le sujet, les fameuses batteries au lithium pointent leur nez et là les données changent. Chacun sait maintenant que l’impact carbone des voitures électriques est au moins aussi important que celui des véhicules thermiques dont la qualité progresse de jour en jour. Et surtout pour la France qui est parmi les pays du monde les moins pollueurs en matière de circulation routière.
    Une petite référence pour montrer l’incidence de ce fameux lithium juste au niveau de son extraction, après il y a le recyclage en fin de vie (1200 cycles charge / décharge soit un peu plus de 3 ans de durée de vie pour une batterie d’auto en utilisation journalière).

    L’extraction du lithium a un impact environnemental important.

    Le procédé d'extraction consiste à :

    • pomper la saumure présente dans le sous-sol des lacs salés ;

    • augmenter la concentration de la saumure par évaporation ;

    • purifier et traiter la saumure au chlore afin d’obtenir le carbonate de lithium (Li2CO3) pur à 99 % ;

    • effectuer la calcination du carbonate pour obtenir l'oxyde Li2O.
      Pour pomper la saumure, on a besoin de carburant ; puis l'évaporation nécessite de larges espaces de salins ; enfin, la calcination du carbonate de lithium libère du CO
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    Alors pourquoi cet acharnement gouvernemental à nous faire croire que ce passage est la solution ad hoc pour la transition énergétique ?

     

    La diabolique machination Macron – Philippe (banques - groupes industriels)

    Vous commencez à comprendre ?

    On vous fait croire que vous n’êtes pas des bons français, des parents indignes, que vous vous désintéressez de l’avenir de l’humanité si vous n’achetez pas une voiture électrique alors qu’on vous accorde une prime royale de 4 000 € (Pour info, une Zoé vaut en moyenne 25 000 €. Et qui paiera cette prime ? Vous forcément).

    Et quels sont les ménages qui n’ont pas 2 voitures, les transports en communs étant soit surchargés quand ils existent, soit difficiles d’accès pour des personnes à mobilité réduite ou ayant de jeunes enfants, soit inexistants ?
    Il faut arrêter de raconter n’importe quoi.

    La vraie raison de cette démarche (vous n’avez pas compris ? : ne vous inquiétez pas ils vont vous réexpliquer, ils serinent ça en boucle !), c’est qu’en orientant le parc de voitures vers l’électrique, forcément la production électrique, qui est déjà limite sans ça, va se trouver déficitaire. Et comment pallier à cette situation ?
    Ben voyons : en construisant des centrales nucléaires ! Monsieur Areva, pardon Philippe va apporter la solution et les bénefs à l’entreprise (et à tous ceux qui gravitent autour bien sûr). Merci pour l’écologie.

    Mais ce n’est pas fini : exit les véhicules thermiques (youpi), mais le manque à gagner provenant des taxes sur les carburants, vous savez ces fameux 70 % qui font que rouler devient de plus en plus un luxe, où vont-ils les prendre ?
    Mais sur le prix de l’électricité bien sûr, d’autant plus qu’elle deviendra la seule source d’énergie possible. Et cette augmentation touchera tout le monde : automobilistes et piétons aussi.

     

    Bien entendu, pas un mot sur les sources les plus polluantes : avions, bateaux, usines ! Seule la voiture est la responsable de la dégradation de la planète : c’est tellement ridicule que ça en devient grotesque !

    Pour terminer (pour l’instant)

     

    Il y aurait encore beaucoup à dire sur la dégradation programmée des revenus d’une grande partie du peuple, particulièrement des retraités et des veuves (diminution drastique de la pension de réversion), problème des migrants, des zones de non-droit dans de plus en plus de banlieues, la légitimité morale de l’ élection de Macron et de celle de l’assemblée actuelle etc.

    Cela ferait beaucoup trop en une seule fois.
    J’y reviendrai à l’occasion.

     

    En attendant vous aurez compris que la destitution de Macron, ou mieux sa démission, est la seule façon de sortir de l’impasse où il nous a menés à grands coups d’arrogance et de mépris.

     

    Merci de m’avoir lu.

    Charly Perisi – 1er décembre 2018